[En plein milieu de la Forêt des Brumes, là où la brume s'amincit, ce trouve un village.
Ce village-là, à l'abrit du conflit qui oppose les Neko aux Vampires, est habité principalement par une race "inferieur" aux vamire et aux Neko, une race qui est la cause de ce conflit.
Les humains.
Ce village-là est habité par des humains, sans pouvoirs, qui vivent en paix et en harmonie, mais caché dans l'ombre pour ne pas attirer l'attention des Vampire.
C'est aussi dans ce village-là qu'ont lieu et ont eue lieu des experience sientifique du projet "Vocaloids-Number_GM"]
Ma main se posa sur un tronc d'arbre.
Devant mes yeux bleu, un village faisait surfasse, au creux qu'une coline, protégé par la brume épaisse de la forêt. En plongé, je voyais les maisons, où je ne pouvais distinguer mes maisons riches des maisons pauvres. Logique, il n'y en avait pas.
Je m'avança à l'entrée du village, mon pendantif accroché à mon poignée ( Où est accroché un mini-canon, lequel je me sert pour activer mon arme), mes long cheveux blanc argentée dans le vent qui soufflé dos à moi.
Je rentra dans le village joyeux, le regard vide, sans expression, me rememorant que c'était ici l'endroit d'où je m'étais échapé.
A chaque fois que je viens ici, le revoie en visions mon trajet, enfant, pour m'échaper des scientifique qui me pourchassaient.
Prenant mon courage à deux mains, je fit quelques pas à l'entrée du village. Les gens se parlaient joyeusement, les fillettes sautillaient avec un panier de fleurs dans les mains, et les jeune garçons leurs en prenait pour les mettre dans les cheveux des propriétaires.
Je secoua la tête, et me dirigea d'un pas décidé vers un batiment blanc;Le laboratoire.
Après avoir contourné les gardes qui me reconaisseraient peut être, je jeta un coup d'oeil à travers une petite grille.
Je tiqua devant la personne que je vit au loin, les cheveux blonds, court, au vent, et les yeux bleu petillants.
*Professeur Edgard Chang...*
Je souria, me rapelant du jeune scientifique paniqué quand il me vit quitter le laboratoire. Après tout, il était comme un père pour moi.
Le sauta par dessus la grille, et, sans être aperçut, traversa le jardin exterieur vers une second grille, où, avant de la sauter, je posa à son pied une envelope sur laquel était noté en gros:
Pour le Dr Edgard Chang
Je m'éloigna du laboratoire en sautillant, les yeux joyeux, puis je m'arreta dans un bar pour me remplir l'estomac qui criait famine.